Un campus complètement football

Un campus complètement football

Le terme « jock » désigne le stéréotype du joueur de football universitaire : un grand balourd aux capacités intellectuelles contestables, qui préfère nettement les soirées d’initiation aux examens de fin d’année. Ce sont les films américains qui ont créé cette image complètement erronée de ces athlètes-étudiants hors pair, dont le nombre grandit de façon exponentielle au Québec depuis quelques années.

Aujourd’hui, le football collégial et universitaire attire des centaines de milliers de spectateurs, autant à la télévision que dans les gradins. Ces athlètes suscitent un sentiment d’appartenance envers leurs établissements universitaires comme aucune formation n’a su le faire avant eux.

Leurs fans se rassemblent avant les matchs, portent fièrement leurs couleurs et scandent des slogans ou des chansons d’encouragement. Ils vont même jusqu’à noliser des autobus pour les suivre dans leurs matchs aux quatre coins du Québec.

À la différence des athlètes professionnels, ces joueurs amateurs ne reçoivent aucune rémunération pour leurs performances sportives. Et souvent, ils rapportent gros…

Partagez

Soumettre votre commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>

Laisser un commentaire